lundi 17 août 2015

Marsac-en-Livradois - le 17 août 2015

Merci à Lise

Touche pas à mon os !




Gaspard et Mélusine sont contents de se retrouver. Ils courent partout, se poursuivent, se font de feintes, l’ambiance est à la bonne humeur. Ils sont tellement en forme qu’à la pause, nous sommes obligés de les mettre en laisse pour pouvoir boire le thé tranquilles. Sur le plateau, ils dénichent chacun un énorme os qui les occupe un moment. Jugeant sans doute que celui de son copain est meilleur, Mélusine abandonne le sien et tente de dérober celui de Gaspard. Mais il ne l’entend pas de cette oreille, dès qu’elle s’approche, il grogne. On peut partager plein de choses, les jeux, les câlins, la gamelle d’eau, mais l’os pas question ! Et Mélusine doit se contenter de le regarder déguster. Plus question non plus de jouer, elle est condamnée à faire le torero au milieu d’un troupeau de vaches qui n’apprécient pas spécialement l’intruse… Finalement, Gaspard abandonne le fameux os, Mélusine se précipite et le ronge à son tour. Le problème est qu’à la fin de la balade, elle refuse d’obéir et de se laisser attraper tant qu’elle n’a pas fini son festin… Dur, dur parfois pour les maîtres !

dimanche 16 août 2015

Olliergues - le 16 août 2015

Merci à Françoise B, Françoise J, Henri et Lise

Fin des Journées du Patrimoine de Pays



En ce dimanche, Les Chemins de traverse avaient convié les amateurs de patrimoine à leur « Rand’Orientation ». De la gare de Giroux, le groupe part à la recherche du « Moyen Age toujours présent » sur un itinéraire décrit et non tracé sur la carte. Aujourd’hui, c’est Françoise qui pilote. A Tours-sur-Meymont, c’est la fête, le trafic automobile est dévié sur notre chemin et en file indienne nous sommes contraints de cohabiter pendant quelques centaines de mètres avec le flot des voitures. Une curieuse croix de Saint André en bois excite notre curiosité. Une allée de tilleuls au moins centenaires, entrée d’une sorte de château au portail clos, conduit dans une cour de ferme, déserte mais imposante. A l’Alligier, au carrefour des chemins nous cherchons en vain la croix signalée sur la carte… Puis, devant nous, le plateau est  brutalement entaillé par le cours de la Dore. C’est là que nous trouvons la chapelle Saint Just, sous un angle inédit. Drôle de chapelle qui reçoit les fidèles une fois par an, chaque lundi de Pâques. Nous la réveillons ce jour de lendemain d’Assomption.  Nous longeons un curieux lac, long, très long, tout vert, puis sa surface si calme se réveille en dessinant deux cercles parfaits d’eau agitée par de puissantes pompes ; l’eau de rejet de la papeterie toute proche se traite ici. Enfin, nous atteignons le pont, le fameux Pont du Diable, discret, trop discret. Il est vieux, peut-être  le plus vieux pont sur la Dore  encore debout. 

mardi 11 août 2015

lundi 10 août 2015

Saint-Pierre-la-Bourlhonne - le 10 août 2015

Merci à Françoise, Henri et Lise

"La France a les plus belles bretelles"



Dans un sketch ancien sur la pénurie d'autoroutes en France, Coluche nous avait prévenus, mais Coluche avait tort… Nous, les autoroutes nous les avons suivies, des larges goudronnées pour sortir du village, puis des belles sablonneuses indignes d’une Rand’aventure. Ce n’est qu’ensuite que nous avons trouvé les bretelles, des bretelles à droite, des bretelles à gauche, des bretelles devant, une vraie toile d’araignée de bretelles. Mais Daniel nous guide d’un pas sûr. Juste une petite erreur (mais nous le soupçonnons de l’avoir fait exprès !) pour nous emmener dans un champ de mûres où nous nous régalons goulûment. Pour trouver la borne géodésique, il n’y a plus de bretelles du tout. Deux essais nous conduisent au même endroit, dans un champ de fougères luxuriantes, plus hautes que nous où il est très difficile de se déplacer et où il s’avère impossible de repérer quelque chose au ras du sol. Nous rentrons bredouilles, il faudra revenir avant la pousse de la végétation…