lundi 18 avril 2016

Marsac en Livradois - le 18 avril 2016

Merci à Marianne

Des visiteurs 



Les Randos toutous sont faites pour les toutous, oui, mais pas que… En cette belle journée, des intrus se sont immiscés dans la vie très particulière des canidés. « Pourquoi diable, se demandent-ils, les chiens ont-ils besoin de courir à fond sans se soucier de ce qui est sur leur passage, et notamment les humains au risque de les faire tomber ? ». C’est une excellente question qui restera sans réponse car les maîtres se la posent en vain depuis longtemps déjà… Les chiens sont en forme, ils s’amusent comme des petits fous, la randonnée est dynamique. Eliott, qui vient de fêter son septième anniversaire et entre du même coup dans la catégorie seniors, se tient prudemment à l’écart des grands. Sûr qu’à la fin de la balade, soit nos visiteurs se précipitent chez Laassi pour une adoption, soit ils sont dégoûtés à jamais…

vendredi 15 avril 2016

La Chapelle-Agnon - le 15 avril 2016

Merci à Lise

Un rassemblement improbable



La chouette, le hérisson, l’écureuil, le blaireau, le sanglier et l’escargot s’étaient donné rendez-vous pour cette nouvelle Rando mômes. Cela n’a pas été si facile de les réunir… Auparavant, il a fallu faire preuve d’observation, de débrouillardise et de réflexion. Mais rien n’a résisté à la bande d’enfants qui ont très vite uni leurs efforts et leurs compétences pour venir à bout des énigmes et des messages codés. Aucun indice, si bien caché fût-il, n’a résisté plus de quelques minutes. Quant aux adultes qui accompagnaient les équipes pour les aider le cas échéant, ils n’ont pas eu trop de travail. Très vite, ils se sont mis en roue libre et en mode « flânerie » pour bavarder et profiter d’un bel itinéraire à travers bois.

lundi 11 avril 2016

Saint-Germain-l'Herm - le 11 avril 2016

Merci à Lise

Un chemin semé d'embûches



C’est sous une bonne pluie que nous démarrons, les averses se succèderont tout au long de la balade, du grésil au départ, de la pluie ensuite. La première difficulté consiste à aller sur le bord de l’étang de la Fargette qui, d’après la carte, n’a pas de chemin d’accès. Sur le terrain des coupes de bois ont fait une trace dans la bonne direction. Nous tentons notre chance et nous trouvons bientôt sur la rive du lac. Nous ne crânerons pas trop longtemps, car, à peine plus loin nous ratons un croisement et prenons un chemin un peu trop au sud. Erreur vite réparée. Ensuite, il faut monter au suc des Trots qui n’a pas de chemin non plus. Le sommet est matérialisé par un réservoir, ce devrait être facile. Et oui c’est facile, on y arrive bien vite. Le reste devrait être un jeu d’enfant - des chemins bien marqués sur la carte - nous relâchons la vigilance. Au croisement suivant sommes-nous déjà au point 8 ? Le chemin attendu pour le retour n’existe pas, les autres ont le bon azimut, par ailleurs il semble qu’on n’ait pas marché assez longtemps. Nous sommes perplexes. Nous faisons une petite exploration qui ne mène nulle part. Pas d’autre solution que de revenir sur nos pas ! Juste avant d’arriver à la route, nous trouvons un petit chemin qui nous avait échappé à l’aller tout occupés que nous étions à nous protéger tant bien que mal - et plutôt mal que bien - de la pluie. Cette nouvelle tentative est fructueuse, nous finissons par trouver le point 8 et tous les chemins sont là. Le retour est très facile, un petit rayon de soleil, qui ne durera pas, nous donne du baume au cœur. Ce n’est qu’aux voitures sous les parapluies que nous ferons notre petit goûter.