Col du Béal - le 26 juin 2016

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Merci à Charlotte, Lise et Paule

Trouvera, trouvera pas ?

Les Chemins de Traverse participent depuis le début à la Fête Nationale de la Montagne et proposent à chaque fois des types de randonnées différents. Aujourd’hui, c’est le géocaching qui est mis à l’honneur. Il s’agit de retrouver dans la nature des boîtes cachées par d’autres et localisées par des coordonnées GPS. Dès que l’endroit est repéré il faut encore dénicher la cachette qui peut être dans un trou, sur un arbre, sous un rocher, dans une ruine et dans bien d’autres endroits plus ou moins insolites… La boîte contient des « trésors » qu’on peut emporter à la seule condition de les remplacer par d’autres. Il reste à signer le registre des passages et remettre tout en place pour d’autres amateurs. Tous les fins limiers du jour s’appliquent pour découvrir les caches, chacun donne son avis, explore les environs et les enfants, à ce jeu, se révèlent très performants. Une seule cache nous résistera. Tant pis, nous reviendrons…

Valcivières - le 22 juin 2016

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Merci à Françoise, Gérard et Lise

Marcher pour rêver

Jean Anglade et Henri Pourrat sont les invités de cette Rando lecture organisée dans le cadre des Journées du Patrimoine de Pays. Les Chemins de Traverse ont choisi d’évoquer les vieux métiers plus ou moins disparus pour répondre au thème de cette année « Métiers et savoir-faire ». Celui de colporteur, en France et aussi en Angleterre, a tous les honneurs, l’itinéraire s’y prête ! Mais celui qui nous amuse le plus c’est celui de fondeur de vieilles, capable de ramener des centenaires « à leurs jolis 15 ans ». Le métier est intéressant et lucratif, mais l’apprentissage en est aléatoire et le CAP pas garanti… Quant aux meuniers et au chaudronnier du conte, on ne sait lequel est le plus fripouille des trois. Une bien belle randonnée où le rêve et l’imaginaire ont une place royale.

Job - le 20 juin 2016

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Merci à Lise

Mon maître, protège-moi !

Bader et Gaspard se retrouvent pour la deuxième fois. Ils se reconnaissent et n’ont aucune difficulté à poursuivre la conversation débutée le mois précédent. Et c’est parti, je cours, tu cours, nous courons sans trop se soucier de ce qui nous entoure. Éliott refuse d’entrer dans cette danse éperdue et cherche du réconfort auprès de son maître. Avec ces deux grands sauvages, on ne sait jamais ! Il préfère la boue des flaques, c’est une chance, les autres n’y trouvent aucun plaisir et il a les « bassins » pour lui tout seul. C’est dire s’il se régale ! Il en sera peut-être quitte pour une douche ce soir.