dimanche 16 octobre 2016

Champetières - le 16 octobre 2016

Merci à Françoise et Marianne


A saute sommets dans les Bois Noirs du Livradois

C’est une dizaine de diablotines et diablotins qui ont répondu à l’appel des Chemins de Traverse pour arpenter la forêt. Pas moins de 15 étapes ont rythmé l’itinéraire. Il a fallu chercher des bornes géodésiques, situer des points cotés, trouver des carrefours de chemins oubliés ou bien tracés. Les lignes de crête, cols, sommets ont servi de points de repère pour fixer les azimuts. Une borne oubliée par les Romains n’a pas échappé à leur recherche… Une forte activité a régné toute la journée pour venir à bout des difficultés. Tous les efforts ont été récompensés autour du pot de l’amitié chez Robert.

lundi 10 octobre 2016

Vollore Montagne - le 10 octobre 2016

Merci à Françoise et Lise


On l’a eue !

Dès la sortie du village, il nous fallait trouver une borne géodésique. A priori, elle était très près de la route, le bois était clair, elle devait être facile à repérer. Mais des petits malins avaient placé des handicaps et coupé des troncs à 20 centimètres du sol.  A plusieurs reprises, on a cru la voir pour découvrir notre méprise dès qu’on s’approchait. On a cherché de long en large, sans oublier le travers et de borne point ! Avant de s’avouer vaincu et de partir, on a triché un peu et pris les coordonnées GPS. L’œil de lynx du groupe l’a aperçue, cachée sous des ronces à un endroit où on était passé plusieurs fois sans la voir, les mouvements de terrain l’ayant quasi recouverte. Et dire que pendant ce temps-là, certains cherchent les champignons !

mercredi 5 octobre 2016

Saint Alyre d'Arlanc - le 5 octobre 2016

Merci à Lise

Un passé industriel

Ces pierres blanches existaient depuis les temps géologiques, elles ont donné son nom au village. Comme elles ne se cassaient, ni se taillaient, elles ne présentaient pas un grand intérêt et servaient essentiellement à maintenir les tuiles des maisons les jours de grand vent et à construire des routes. Et puis, une utilisation industrielle leur a été trouvée et c’est le début de l’exploitation d’une carrière à ciel ouvert de quartz laiteux. Elle a duré une vingtaine d’années jusqu’à la première guerre mondiale. Les pierres étaient mises dans des tombereaux, amenées à la gare de La Sagne et transportées à Saint-Étienne pour être intégrées à la brique réfractaire des hauts-fourneaux. De ce passé, il n’existe plus qu’une saignée dans le bois envahie de végétation, un trou plein d’eau et quelques pierres ici et là pour le promeneur observateur.