mercredi 27 décembre 2017

Job - le 27 décembre 2017

Merci à Lise

A chacun son chemin



L’itinéraire est court, mais il est corsé par quelques difficultés en cours de route. Une dizaine d’épreuves attendent les participants, du casse-tête au jeu d’adresse… Chaque enfant accompagné d’un adulte doit relever le défi. Certains s’acquittent facilement de leur tâche et « s’éclatent ». Pour d’autres c’est un peu plus compliqué de trouver les indices qui se cachent exprès à leur passage ou qui ont des codes tout à fait bizarres… Finalement, après quelques recherches tout le monde trouvera les trésors répartis dans le Parc des Mélèzes et admirera au passage les beaux arbres de l’arboretum. Le vent, les averses de pluie ou de grésil ajouteront des difficultés supplémentaires à cette balade, histoire de mettre à l’épreuve les vocations de randonneurs !

lundi 11 décembre 2017

Beurières - le 11 décembre 2017

Merci à Lise

Ligne de crête ou thalweg ?



Cette Rand’aventure était annoncée courte, mais peut-être pas facile. Effectivement ! La sortie du village ne pose aucun souci. Mais le premier chemin, s’il existe bien, se perd rapidement dans la forêt. Le chemin sur la carte est très tortueux, ce qui rend la boussole d’une efficacité relative. Nous tentons d’apprécier les lignes de niveau. Elles sont fortement chahutées, indiquant un relief tourmenté. Où sont les lignes de crête et les thalwegs ? Pas facile de tout comprendre et pourtant c’est essentiel car il y a un chemin qu’on peut rejoindre à condition qu’il existe. Donc descendre ou monter ? Notre déduction sera bonne, nous grimpons la côte particulièrement raide et nous nous retrouvons effectivement sur un chemin… qui se poursuit. Une ou deux hésitations plus tard nous sommes sortis d’affaire et nous retrouvons au village. Ce n’est pas encore cette fois-ci que nous nous perdrons !

dimanche 10 décembre 2017

Valcivières col des Supeyres - le 10 décembre 2017

Pas de photos
Merci à... personne

Une navigation délicate



Les appareils photos ont été oubliés, mais pas les raquettes, ni la boussole. C’est bien là l’essentiel. Sans raquettes il ne serait pas question de se déplacer compte tenu de l’épaisseur de la neige. Quant à la boussole, si elle n’est pas indispensable pour sortir du chalet, elle le sera vite dès qu’on abordera le plateau des Égaux. Le brouillard est épais et masque tous les paysages. Une clôture bien placée est à peu près dans la bonne direction. Nous ne la perdons pas des yeux et la suivons rigoureusement : on voit en principe 2 poteaux, parfois un seul. Quand on approche, le suivant apparaît… On avance lentement et on passe le sommet de la montagne. Dans la descente, il y a moins de brouillard, mais la neige en quantité plus importante nous réserve bien des surprises. Apparemment égale, elle recèle néanmoins plein de chausse-trapes. Quand on pose une raquette, on ne sait pas si elle va s’enfoncer de 5 centimètres ou de 30… La marche est pénible et prudente. On finit par arriver sur un chemin qui nous ramène au chalet et à la bonne soupe qui nous y attend. La pluie de l’après-midi décourage les participants qui déclarent forfait pour la deuxième randonnée.