Merci à Françoise et Lise
Ne pas perdre le nord
Forts de la dernière expérience,
certains pensaient qu’une boussole pour deux suffirait. Pas question !
Aujourd’hui, il y a plus de boussoles que de participants, il n’y a donc pas
moyen de se soustraire à l’exercice. Azimuts de chemins, azimuts de ruisseaux,
même l’azimut du Puy de Dôme ! Tout ça c’est facile. Le reporter sur la
carte s’avère plus délicat. De répétition en répétition, on progresse. On se
mélange un peu les pieds quand même : quand faut-il utiliser l’aiguille ?
Quand ne faut-il pas ? Ce n’est pas encore automatique… Heureusement les
chevaux et le thé apportent une belle diversion et permettent de ne pas finir
azimutés !