mercredi 24 octobre 2018

Saint Bonnet le Bourg - le 24 octobre 2018

Merci à Lise et Paule

Le déréglement climatique a encore frappé !


Après un trajet d’approche dans les bois, nous devrions dominer l’étang de Marchaud, mais… il a disparu. Certes, cette année, le lac d’Annecy a baissé de 50 centimètres, mais l’étang de Marchaud, la plus grande étendue d’eau du Livradois, elle, a carrément disparu. On ne voit qu’une immense mare de boue avec quelques flaques de ci de là. Gaspard inspiré par ce beau terrain de jeu manque de s’enliser et rebrousse bien vite chemin. Au loin un héron posté cherche une maigre pitance. Une fois la surprise passée, nous longeons la rive toujours aussi agréable sous les arbres et profitons de ce paysage unique... un étang sans eau. C’est la première fois que nous voyons le mur de la digue. Au fur et à mesure que nous approchons de la route nous repérons de nombreux engins qui travaillent, creusent, retournent et c’est dans un grand brouhaha que nous quittons ces lieux habituellement si paisibles. Bientôt, nous aurons l’explication, l’étang a été vidangé pour maintenance…

lundi 22 octobre 2018

Médeyrolles - le 22 octobre 2018

Merci à Lise

Respirer en conscience, tout un programme !




C’est un paysage qui se prête bien à la rêverie, à la méditation et… à la marche afghane. Dès les dernières maisons de Médeyrolles, nous entrons dans la forêt. De larges allées peu accidentées facilitent la concentration. Après une phase d’observation, nous entrons dans « le dur », 3/1, 3/1. C’est plus compliqué qu’il y paraît a priori. Petit à petit on apprivoise le rythme. C’est plus facile pour certains que pour d’autres. Plus tard, on adopte un autre rythme, plus aisé apparemment, même s’il exige une meilleure capacité pulmonaire. Heureusement, nous aurons une récréation avec le champ de volatiles en engraissement en vue de Noël. Il nous occupe un moment et en voyant ces jolies bestioles gambader, on a envie de devenir végétarien… 

dimanche 21 octobre 2018

Montmorin - le 21 octobre 2018

Merci à Françoise, Lise et Paule

Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu pas le chemin ?




Pour un labyrinthe, c’est un labyrinthe ! Des chemins, il y en a partout, à droite, à gauche, au milieu, des qui ont disparu, des qui n’existent pas ou plus. Il y a même une route condamnée pour cause d’effondrement. Et là-dedans, il faut suivre son itinéraire, accepter d’hésiter, de se tromper de temps en temps, de revenir… Si pour les anciens, c’est extrêmement banal, pour les nouveaux, c’est un excellent apprentissage et la découverte que la seule lecture des chemins est parfaitement insuffisante pour s’orienter. Par cette belle journée encore estivale, nous évoluons au milieu des champs, dans un paysage magnifique sous la protection de l’imposant château de Montmorin et à deux pas des Turluron.