dimanche 25 novembre 2018

Saint Maurice - le 25 novembre 2018

Merci à Lise

Un outil précieux



Le village vigneron de Saint Maurice, bien haut sur son promontoire domine la vallée de l’Allier qui paresse et se tortille dans la plaine. Nous admirons les très belles maisons de pierre, mais il ne faut pas trop musarder et oublier de s’orienter ! Le tracé n’est pas matérialisé sur la carte et c’est avec les informations données par la boussole que nous nous dirigeons. Le chemin en corniche nous offre une très belle vue de l’autre côté de la rivière, l’occasion est rêvée d’identifier tous les villages. SOS azimut ! Nous tournons autour du village, visons la montagne aux ailes volantes au repos aujourd’hui. Bien souvent, intuitivement, nous voulons prendre un autre chemin que celui qui est indiqué pour rentrer plus vite au bercail. Mais non, nous suivons le chemin des écoliers et visitons la campagne alentour avant de revenir. 

lundi 19 novembre 2018

Sembadel - le 19 novembre 2018

Merci à Lise

Le froid, connais pas


Il ne fait pas chaud à Sembadel, le givre recouvre la campagne, les humains ont sorti blousons et
bonnets et gardent leurs mains au chaud. Précautions que dédaignent largement nos toutous. Une petite course par ci, quelques montées et descentes de talus par là, il y a bien de quoi se réchauffer dans la campagne… Même qu’un petit bain est le bienvenu, eau sale, eau propre, qu’importe, ça, ce sont des questions d’humains qui ne savent pas apprécier les plaisirs. Tonton Gaspard initie Noa qui vient pour la première fois et le suit comme son ombre, sauf dans l’eau où il prend les initiatives...

dimanche 18 novembre 2018

Vals le Chastel - le 18 novembre 2018

Merci à Martine

On a gagné


Il faut mériter le petit village de Vals le Chastel perché sur sa motte castrale. Après une visite à l’église insérée dans un lot de maisons, nous voilà partis pour cette Rando diabolique. Dégringoler la pente, traverser le ruisseau, trouver les chemins pour accéder à la station de pompage est un jeu d’enfant. Le suc d’Avaux est perdu dans des bois difficiles d’accès, les ronces exubérantes qui nous griffent manquent de nous faire renoncer, mais on s’obstine et on finit par y arriver, youpi ! La chapelle de Cenat, dans un village ne pose aucun problème. Ensuite pour arriver au suc de Pandet et à sa borne, il faut passer un chemin où les arbres couchés par la récente neige créent autant d’obstacles. Même Gaspard est obligé de réfléchir pour savoir où passer… Nous longeons le ravin de Combe Vacher, cinquième étape pour arriver à la Jarosse, puis au château de Cumignat. C’est là que nous avons notre premier gros aléa, le passage prévu est interdit d’accès et nous devons rallonger l’itinéraire. Nous privilégions une petite route qui nous ramène à un chemin déjà parcouru le matin pour nous préserver de nouvelles surprises alors que le soir tombe et c’est à la nuit que nous retrouvons les voitures.