dimanche 29 janvier 2017

mercredi 18 janvier 2017

Grandrif - le 18 janvier 2017

Merci à Lise

Les montagnards aiment-ils la neige ?




C’est la question qu’on peut se poser, la Rando raquettes du jour, programmée au dernier moment il est vrai, n’a pas rencontré un grand public. Dommage pour les absents, le ciel est tout bleu, la neige est très belle tantôt chantilly, tantôt meringue… Peu de personnes sont passées avant nous, les paysages sont intacts, le silence nous entoure, on a l’impression d’être au bout du monde. Martine, pour qui c’est la première sortie à raquettes est ravie. Quand le soleil se couche le soir, le froid tombe aussitôt, heureusement, on est presque arrivé. C’est avec plaisir qu’on retrouve les voitures après ce très bel après-midi passé au grand air.

lundi 9 janvier 2017

Aubusson d'Auvergne - le 9 janvier 2017

Merci à Lise

Remboursez !



Le plaisir de la Rand’aventure est de trouver des obstacles à contourner, des itinéraires à improviser, des éléments à rechercher. Rien de tout ça aujourd’hui : tous les chemins existent, ils sont conformes à la carte, il suffit de faire un peu attention pour ne pas se tromper. Aucune surprise ! On est un peu déçu. Il reste néanmoins une très belle balade dans les bois près du lac d’Aubusson qu’on ne voit pas. L’aventure sera pour une autre fois.

dimanche 8 janvier 2017

lundi 2 janvier 2017

Fournols - le 2 janvier 2017

Merci à Françoise et Lise

Le piège



La Rand’azimut du jour nous propose un jeu de piste : il s’agit de suivre un itinéraire juste défini à partir des directions et des azimuts. Bien sûr on suit notre cheminement sur la carte. Le chemin est beau, bien tracé, un magnifique chemin forestier. Une question consiste à prendre l’azimut d’un ruisseau et d’en déduire où on est sur le chemin. Quand on a retrouvé la technique, ça correspond parfaitement. A la deuxième fois qu’on fait l’exercice, c’est plus compliqué, l’azimut ne correspond pas tout à fait. Peut-être s’est-on trompé ? On remesure… Si on ne prend qu’un millimètre, l’azimut peut correspondre tant bien que mal… On poursuit sur ce beau chemin. Quand on arrive à un carrefour en T un kilomètre plus loin, là plus rien ne correspond à la carte. On est obligé de se poser des questions et de trouver l’endroit où on est arrivé. Finalement, on a suivi un chemin noté sur la carte de continuité aléatoire. Quant au chemin d’exploitation qu’on aurait dû prendre, il n’existe plus. Notre hypothèse est confirmée par la suite de l’itinéraire, mais aussi par la trace du GPS ! La morale de l’histoire, c’est que les chemins ne sont pas toujours ceux qu’on croit !