dimanche 30 juillet 2017

Saint Rémy sur Durolle - le 30 juillet 2017


Merci à Lise

Une mèche en queue de cochon



Au moment du rendez-vous, il pleut et l’orage menace. Mais « pluie du matin n’arrête pas le pèlerin », l’adage aura raison une fois de plus car l'averse s’arrêtera bien vite et ne nous gênera pas de la journée. Nous commençons par aller visiter l’exposition de tire-bouchons prévue dans un bâtiment du plan d’eau… Une mauvaise surprise nous attend : contrairement aux autres années, bien que programmée elle n’a pas été installée. Nous sommes extrêmement déçus, Joëlle s’improvise guide-conférencière et se découvre en même temps des talents qu’elle ne se connaissait pas. Grâce à son savoir, nous découvrons l’histoire de la mèche à qui il faudra 14 opérations pour devenir une queue de cochon à partir de la billette. C’est la confrérie du tire-bouchon qui a réhabilité cet outil et a fait de Saint Rémy sa capitale au point qu’elle lui a dressé une statue sur la place du village.

lundi 17 juillet 2017

Saint Bonnet le Chastel - le 17 juillet 2017

Merci à Lise

Un événement



« Il n’y a que les humains pour avoir envie de se balader par une telle chaleur alors qu’on pourrait rester au frais pour faire une belle sieste »… C’est sans doute ce que se sont dit les chiens quand ils sont montés dans les voitures, mais ils ont tout de même été bien contents de se retrouver et de marcher de concert. De temps en temps une micro pause leur permet de récupérer. Toutes les pièces d’eau sont bonnes pour se rafraîchir. Même Gaspard met spontanément les pattes dans l’eau ! Un événement à marquer d’une pierre blanche tellement il est inhabituel.

lundi 10 juillet 2017

Courpière - le 10 juillet 2017

Merci à Lise

Cela paraissait facile !



Comme disait le poète « Il suffit de passer le pont et c’est tout de suite l’aventure »… Nous quittons bien vite la route pour un chemin agréable. La chaîne qui le barre ne nous émeut guère, elle est facile à franchir et notre sentier prend à droite peu de temps après. Mais le chemin n’existe pas, nous repèrerons  plus tard son trajet masqué par les ronces et orties qui l’ont envahi totalement. Pour le moment, nous nous trouvons devant un grand portail fermé par un cadenas qui empêche l’entrée au château. Pas d’autre solution que de faire demi-tour, une petite route nous sortira d’affaire en nous faisant admirer le terrain de camping. C’est un répit de courte durée, 600 mètres plus loin, rebelote et nouvelle improvisation. Nous longeons la vallée du Couzon que les riverains ont joliment aménagée. La suite est plus tranquille, les chemins sont là, une côte bien raide nous emmène sur le plateau d’où nous avons une très belle vue. Régulièrement, nous croisons un chemin balisé en bleu sans doute plus facile, mais nettement moins drôle !