Merci à Lise
Cela paraissait facile !
Comme disait le poète « Il
suffit de passer le pont et c’est tout de suite l’aventure »… Nous
quittons bien vite la route pour un chemin agréable. La chaîne qui le barre ne
nous émeut guère, elle est facile à franchir et notre sentier prend à droite
peu de temps après. Mais le chemin n’existe pas, nous repèrerons plus tard son trajet masqué par les ronces et
orties qui l’ont envahi totalement. Pour le moment, nous nous trouvons devant
un grand portail fermé par un cadenas qui empêche l’entrée au château. Pas d’autre
solution que de faire demi-tour, une petite route nous sortira d’affaire en
nous faisant admirer le terrain de camping. C’est un répit de courte durée, 600
mètres plus loin, rebelote et nouvelle improvisation. Nous longeons la vallée
du Couzon que les riverains ont joliment aménagée. La suite est plus
tranquille, les chemins sont là, une côte bien raide nous emmène sur le plateau
d’où nous avons une très belle vue. Régulièrement, nous croisons un chemin
balisé en bleu sans doute plus facile, mais nettement moins drôle !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire