dimanche 26 novembre 2017

Saint Clément de Valorgue - le 26 novembre 2017

Merci à Lise

Où sont les copains ?



Cette Rando diabolique devait être plus facile que d’habitude. Pari gagné. Tant pis pour ceux qui auraient pu être très performants et qui ont préféré faire la grasse matinée après les écarts de la veille. C’est donc en effectif réduit que nous partons à l’assaut du pont sur l’Ance qui constitue le premier point de passage. Le deuxième sur l’Enfer est tout aussi facile. Pour atteindre la croix un peu cachée (!), c’est plus compliqué : le chemin que nous choisissons est vite aléatoire, envahi par les genêts. Gaspard plus près du sol slalome facilement, il suffit de le suivre ! Après un passage à travers bois à la boussole, nous retrouvons un beau chemin et c’est sans difficulté que nous trouvons les deux points suivants. Ensuite il s'agit d'une borne géodésique perdue dans le bois sans aucun accès. Nous atteignons la crête, mais elle est très large et hérissée de petits monticules. Lequel est le bon ? Le GPS nous renseigne. Malheureusement, l’exploitation du bois fait que le sol est jonché de branches, de troncs sous lesquels la borne nous nargue peut-être… Nous abandonnons assez vite les recherches et profitons des bancs improvisés pour pique-niquer à 1100 mètres d’altitude dans un air bien vivifiant. Nous sommes contents de repartir et de nous réchauffer, choisissons d’approximation en approximation des chemins complètement inconnus de la carte pour nous retrouver dans les villages prévus. Les deux derniers points sont des maisons. Facile ! Mais ces recherches nous permettent de constater une erreur sur la carte… La neige annoncée n’était pas au rendez-vous.

lundi 20 novembre 2017

Arlanc - le 20 novembre 2017

Merci à Lise et Paule

A chacun ses plaisirs




Il était promis aux toutous des plages de boue ou de galets. Mais le sol est sec et la boue a séché. Tant pis pour leurs rhumatismes ! Les pièces d’eau sont très accessibles et régalent Éliott qui n’en rate pas une. Il trempe une patte, deux pattes, quatre pattes et même le ventre. Puis il arbore sa robe trempée qu’il secoue vigoureusement pour le plus grand plaisir des maîtres sérieusement arrosés. Gaspard lui, préfère creuser des trous et débarder des morceaux de bois qu’il choisit lui-même. Pas moyen pour les bipèdes qui l’accompagnent de savoir lesquels auront sa préférence. Si on lui en propose un, il le snobe pour en prendre un autre. Comme disent les jeunes enfants « c’est moi qui fais… ».

dimanche 12 novembre 2017

Escoutoux - le 12 novembre 2017



Merci à Françoise

Un bivouac sur le plateau ?

Aujourd’hui, les participants n’ont aucune carte. Il faut se diriger uniquement aux indications de la boussole. Pour quelques-uns d’entre nous qui s’en servent pour la première fois, l’enjeu est de taille, d’autant qu’il nous est promis un bivouac sur le plateau en cas d’échec. Avec les nuages et la pluie qui tombe abondamment en fin d’après-midi, il vaudrait mieux éviter ce genre d’aventure… Heureusement, quelques régionaux de l’étape nous ramèneront à bon port, du moins le croit-on. En attendant, on joue le jeu. Après
quelques hésitations, les manipulations deviennent plus sûres et même n’ont plus de secret pour nous. Sur le plateau on s’y arrête quand même, les chasseurs ont laissé là une belle table qui nous sert pour faire la pause, boire le thé et manger petits gâteaux réalisés par notre pâtissière attitrée et toujours inspirée. Le bivouac, ce sera pour une autre fois.