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Merci à Lise.
Merci à Lise.
De la drosera à la lande à callune.
C’est par une visite aux tourbières
qu’a commencé la Rand’aventure prévue au col du Béal. Si les vaches y
avaient laissé les empreintes de leurs pieds, par bonheur, les plantes
carnivores n’avaient pas subi trop de dommages. Les larges feuilles des
grassettes contrastant avec leurs petites fleurs discrètes répondaient
aux taches rouges des droseras parfaitement épanouies. Et la randonnée a
commencé presque toujours sur des chemins bien marqués, ce qui a permis
aux participants d’admirer toutes les fleurs le long du trajet. Puis le
chemin est devenu trace au milieu d’une végétation envahissante. Quand
la trace s’est arrêtée après une légère dérive au sud, il a fallu
prendre une décision. Une prise d’azimut et une analyse de paysage plus
tard, la petite troupe a décidé de traverser la lande à callune pour
atteindre une ligne d’arrêt située en contre-haut. Aussitôt dit,
aussitôt fait, la marche est malaisée sur ce sol inégal et masqué par la
végétation, la progression lente, mais régulière. Et c’est exactement à
l’endroit prévu que tout le monde est arrivé. La randonnée, c’est bien,
mais c’est bien plus rigolo quand il n’y a pas de chemin.
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