Merci à Lise et Marianne
Vindoux, Dimond et les autres.
C’est la forêt de la Comté qui
avait été choisie comme terrain de jeux pour cette nouvelle Rando diabolique
prévue de pic en pic. D’après la carte, les chemins ne mènent à aucun sommet.
Notre mérite n’en sera que plus grand ! C’est facile de trouver le sommet,
il suffit de grimper. Oui, mais tout dépend du terrain pour y accéder. Nous avons
plusieurs séries de forêts vierges à traverser nous obligeant à modifier notre
itinéraire, parfois au prix d’un sérieux détour. Les ronces et les chablis se
concurrencent pour nous faire des croche-pieds sans arrêt. Nous ne leur en
tiendrons pas rigueur puisque nous installons notre pique-nique en plein milieu
d’un champ de ronces en partie aplaties par les engins forestiers. Nous
redécouvrons que le chemin est plus confortable que le hors-piste. Heureusement
une croix de hameau facile à trouver nous repose un moment. Quant au pont de la
pendue situé tout près de la départementale, il nous donne du fil à retordre.
Snobant la route au profit d’un chemin d’exploitation, nous aurons du mal à
trouver le sentier peu visible au milieu d’autres bien tracés. Tout ça pour
trouver un petit pont ridicule, à peine un passage au-dessus d’une grosse
buse ! Dix-sept heures sonnent au clocher quand nous arrivons aux voitures.
Chapeau à l’animateur pour sa gestion du temps…
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